Luis de Camoëns

Sonnets lyriques
Traduit du portugais par Frédéric Magne (édition bilingue)
Frontispice d’Antonio Seguí
12 mars 2000. 48 p. (pp. 10 à 45)
100 exemplaires avec une eau-forte aquarellée de la main du peintre,
dont 35 comportent une épreuve à part tirée à grandes marges
L’exemplaire sans suite : 400 € / L’exemplaire avec suite : 750 €

On ne connaît le plus souvent de Camoëns, ne serait-ce que de nom, que sa légendaire épopée des Luisiades, mais les sonnets du premier et plus grand poète portugais, pour peu qu’on veuille les lire, sont rarement disponibles en français. Frédéric Magne a fait le choix, dans ce recueil, des sonnets qui, par amour de l’amour, sont presque tous absolument désespérés. Plus que l’image glorieuse d’une nation que déploient les Luisiades, dans ces sonnets s’exprime la réalité d’un homme, de la mystérieuse tristesse de la vie avec en son centre l’inoubliable soleil du « bien passé ».