Friedrich Schiller

Lieder
Traduit de l’allemand par Gérard de Nerval
Frontispice de François Rouan
23 octobre 1994. 56 p. (pp. 9 à 48)
100 exemplaires avec une pointe sèche, dont 36 avec une épreuve tirée à grandes marges, et 10 avec cette épreuve et celle d’une planche refusée, justifiées et signées par l’artiste
L’exemplaire sans suite : 400 € / Avec suite : 800 € / Suite et planche refusée : 1 200 €

« Célèbre en France par ses pièces de théâtre surtout », comme l’écrit Nerval, « il nous est moins connu comme poète lyrique » ; mais en Allemagne ses poésies furent universellement admirées. « C’est ce que ne peuvent se figurer ceux qui le lisent dans les traductions », poursuit avec sa modestie coutumière Nerval, dans la version duquel nous les donnons à nos lecteurs. On trouvera dans ce recueil la célèbre Chanson de la cloche qui a inspiré son frontispice à François Rouan, et d’autres poésies qui exaltent, dans un grand lyrisme d’idées, la Puissance du chant et l’Idéal : « Le poète est l’allié des êtres terribles qui tiennent en main les fils de notre vie ; qui donc pourrait rompre ses fils magiques et résister à ses accents ? »